Des handicaps invisibles mais pas imaginaires

80 % des handicaps ne se voient pas. Invisibles, ils n’ont pourtant rien d’imaginaire. Sclérose en plaques, épilepsie, bipolarité, surdité, dyslexie… : à l’occasion de la Journée mondiale du handicap, ce 9 octobre, ils et elles témoignent.

Ni fauteuil roulant, ni canne blanche, ni quoi que ce soit laissant supposer l’existence d’une déficience. 80 % sont invisibles. Sclérose en plaques, maladie rare, trouble cognitif, sensoriel, psychique, autisme… : des atteintes qui ont pourtant de lourdes conséquences au quotidien pour celles et ceux qui en sont atteints.

Incompréhension et préjugés

Des conséquences en matière de santé : grande fatigue, perte d’équilibre, de mémoire, douleurs… De vie sociale, professionnelle, familiale. Celles et ceux concernés doivent alors affronter l’incompréhension des autres et leurs préjugés. Ils prennent la parole en cette journée mondiale du handicap ce vendredi 9 octobre.

« Donner l’apparence de vivre en communion. »

Mickaël souffre de dyslexie. Dans ces échanges avec les autres, il doit faire preuve d’une immense concentration et trouver des « subterfuges » pour « donner l’apparence de vivre en communion« . Voici son témoignage.

 

 

Retrouvez d’autres témoignages sur les réseaux sociaux de Faire Face, et dans un dossier dédié du magazine.

Handicaps invisibles : dépasser les apparences

 

Le magazine Faire Face a consacré un dossier complet aux handicaps invisibles. De nombreuses personnes y témoignent de leurs difficultés au quotidien. Il propose dispositifs, conseils, contacts pour se faire aider, défendre ses droits et trouver des solutions pour mieux appréhender ses relations avec les autres. Objectif : mieux vivre avec et déconstruire les préjugés sur les handicaps invisibles.

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