Loi Handicap de 2005 : Rencontre à la Mairie de Pontchâteau pour travailler sur l'accessibilité universelle

Malgré quelques avancées, l’APF exprime sa colère sur les reculs inacceptables des ambitions initiales de la loi handicap 2005.

RENDEZ-VOUS AUJOURD'HUI

MANIFESTATION :
Mercredi 11 février 2015
A 14H30 : RDV Place du Commerce à Nantes
Déambulation, prise de paroles,
intervention des élus de l’agglomération nantaise.
Affiche - APF en Loire-Atlantique - Action 11 Février 2015.jpg

Le jeudi 5 février 2015 a eu lieu une rencontre entre M. GUIHENEUF, conseiller municipal à Pontchâteau, Mme MORAND élue chargée des affaires sociales, le Groupe Relais APF APF-Pontchâteau Loire Sillon et des représentants de l’APF pour proposer des solutions face au retard de la France sur l'accessibilité universelle.
le Groupe Relais APF APF-Pontchâteau Loire Sillon raconte cette rencontre.

DSC_9679réduite.jpgDSC_9681réduite.jpgNous, habitants de la région de Pontchâteau, exprimons notre mécontentement face au recul de la loi de 2005 et aux délais prévus dans les AD’AP !

La loi de 2005 prévoyait une accessibilité universelle (cadre bâti, transport, voirie). Et où en est-on aujourd’hui ?! Au point mort !

Malgré des travaux de réaménagement dans nos communes, nous ne pouvons toujours pas accéder à tous les commerces et services publics.

Pourquoi l’accessibilité est encore aujourd’hui mise de côté ?

De tels dysfonctionnements sont inacceptables.

Alors qu’en Allemagne avec qui nous sommes jumelés, tous les bâtiments du Conseil Municipal sont accessibles ce qui permet à ces citoyens d’exercer leurs droits fondamentaux.

Les trottoirs sont aménagés, les feux de signalisation sont équipés de feux sonores.

Devons nous alors vivre là bas ?!

Nous avons rencontré M. GUIHENEUF, conseiller municipal à Pontchâteau, Mme MORAND élue chargée des affaires sociales.

Un projet de construction de logements sociaux adaptés aux personnes en situation de handicap est en cours.

Mais si les trottoirs ne sont pas accessibles, comment pouvons nous accéder à ces logements ? Et les commerces ? Sommes-nous condamnés à être emprisonnés dans ces logements ?

Nous ne pouvons plus attendre ! Il est temps d’agir pour demain !

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