Actualités - Page 122

  • Mon stage à la Délégation départementale de Loire-Atlantique

    DSC_0520.JPGActuellement en formation de secrétaire assistante médico-sociale, l’APF a toujours été une structure qui m’intéressait. La Délégation Départementale de Loire-Atlantique m’a permis d’effectuer mon stage d’application de cinq semaines, qui s’est déroulé du 10 juin au 12 juillet 2013.

    Que dire de ces cinq semaines ?

    Ces semaines sont passées très vite, même trop vite. J’étais pressée de commencer mon stage, mais j’avoue que j’appréhendais un peu aussi. Mais l’équipe m’a tout de suite bien intégrée. Et je me suis sentie rapidement à l’aise. On ne m’a pas fait ressentir que j’étais « une stagiaire ».

    J’ai eu des missions très intéressantes à réaliser et on m’a donné l’opportunité de participer à des évènements comme si je faisais partie de l’équipe. C’est une équipe très dynamique, motivée et très investie dans ce qu’elle fait. A la base, je suis sensibilisée au handicap et je souhaitais pouvoir effectuer mon stage dans ce secteur associatif. Cela m’a permis de me conforter dans mon projet professionnel.

    Quel bilan ?

    Je ne retire que du positif de cette expérience et je pense, dans le futur, m’investir au niveau de l’APF, pourquoi pas en tant que bénévole. Je quitte cette équipe avec du regret.

    Je remercie donc Grégoire de m’avoir accueillie au sein de la Délégation, ainsi que Pauline Bosger. Anelise et Rose-Anne pour m’avoir accompagnée jour après jour dans mon travail, ainsi que toute l’équipe : Marie, Guillaume, Solenne, Alexandra. Et tous les bénévoles

    Aline Glémot

  • Un clip sur le handicap remporte de nombreux prix

    Chloé, Sarah, Daniela, Mohamed, Dylan, Alexis, de jeunes poitevins acteurs de leur propre handicap dans une vidéo initiée par la commission Sports/Solidarité du CCJP (Conseil Communal des Jeunes de Poitiers).

    Leurs voix, leurs mots, leur engagement ont été mis en valeur par le travail d'un jeune slameur local, "LHOME", qui les a aidé dans la rédaction des textes et leur mise en musique face à la caméra. 

    Le résultat est à la hauteur de l'ambition, c'est à dire "changer le regard des autres sur le handicap".

    Alors, efficace ou pas ce clip? Votre avis nous intéresse.

  • Le taux d’emploi de travailleurs handicapés est toujours orienté à la hausse

    L’objectif des 6 % de travailleurs handicapés est loin d’être atteint. Dans le privé surtout. La part de travailleurs handicapés dans les établissements d’au moins 20 salariés s’élevait, fin 2010, à 2,8 % dans le secteur privé et 4,39 % dans le secteur public, selon l’Agefiph et le FIPHFP qui viennent de publier ces chiffres. Les méthodes de calcul étant différentes, il n’est pas possible de comparer leurs performances respectives. Il faut donc se contenter d’une analyse secteur par secteur.

    Pour lire la suite, cliquez ici.

    Source : Blog Faire Face

  • L'APF à visage découvert" : Un site pour feter les 80 ans de l'APF

    1513326940.jpgPour promouvoir et fêter ses 80 ans, l’APF lance l’opération : « L’APF à visage découvert ». L’association invite tous ses acteurs à envoyer leur portrait sur le site 80ans.apf.asso.fr, accompagné d’un message, et à révéler ainsi le visage de ceux qui font l’association.

     Chacun peut participer !

    L’objectif est de fédérer les acteurs autour de cet événement important et de symboliser la dimension humaine et dynamique de l’APF.

    Pour acceder au site 80ans.apf.asso.fr, cliquez ici.

  • Denyse, on est tous avec toi

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    Toute la Délégation APF exprime sa vive émotion et ses condoléances à Denyse Le Berre, notre représentante départementale, et tout sa famille, pour le décès de son fils Benjamin.

    Benjamin est décédé mardi 25 juin. Une délégation de l'APF était présente aux obsèques ce lundi matin au cimetière du parc à Nantes. Voici le texte lu par son frère Damien lors de la cérémonie :

    "BENJAMIN

    Amis, collègues, famille, nous nous sommes tous remémoré ces derniers jours une foule d'images et de souvenirs de Benjamin.

    Pour certains, c'est Ben avec son cuir et son casque de motard à la main, son éternelle Honda CB 500  jamais garée très loin. Sur un court de tennis, le poing rageur après un coup droit gagnant, ou  affichant une moue d'agacement après une énième double-faute. S'enflammant devant un match de foot, que ce soit à la Beaujoire ou devant la télé. En voyage à l'autre bout du monde, ou chez lui à Nantes, une ville qu'il aimait. En soirée, avec une bière ou un vieux whisky à la main, puisqu'il nourrissait une tendresse toute particulière pour ce breuvage.

    Benja n'était pas le garçon le plus expansif du monde, ce qui ne l'empêchait pas d'être drôle, bien au contraire. D'un humour noir et pince-sans-rire, tenant plus, il faut le dire, de Desproges que de Bigard. C'était aussi quelqu'un de droit, sur qui l'on pouvait compter. À cheval sur ses principes et ses positions, et ce parfois jusqu'à l'obstination. Quelqu'un de perfectionniste dans son travail également, qui avait trouvé, avec son récent métier de moniteur d'auto-école, un cadre, un moyen de se structurer. Et une source d'anecdotes franchement hilarantes.

    Mais Benjamin était aussi quelqu'un de secret, avec ses parts d'ombre et ses démons. Si beaucoup d'entre nous se souviennent de son rire, ce rire cachait aussi des questions. Jusqu'au bout, il a cherché des réponses à ces questions. Faute de les trouver, l'épreuve lui a, à un moment donné, semblé tout simplement insurmontable. Mais sa famille, ses amis, son colocataire, ceux qui l'ont vu ces dernières semaines, tous vous le diront : il s'est battu de toutes ses forces.

    Pour ceux qui l'ont bien connu à un moment ou à un autre de sa vie, il est impossible de ne pas se poser la question :  cela aurait-il pu se passer autrement ? Peut-être faut-il simplement se dire que, derrière son côté dur au mal et une extrême pudeur pour exprimer ce qu'il ressentait, Benjamin était juste trop sensible pour le monde dans lequel il a vécu.

    30 ans. C'est forcément trop court. C'est aussi plus que suffisant pour que chacun d'entre nous garde au fond de lui une image, un rire de Benjamin, un bon moment partagé avec lui. Et pour que ce souvenir nous accompagne pendant longtemps."

    La Délégation se souvient de l'implication de Benjamin, qui avait y avait fait son stage en 2006, et avait largement contribué au développement de la Fête du Sourire (cf. photo de la plaquette de la Fête du Sourire 2006).

    Pour ceux qui veulent contacter Denyse, ou lui adresser un message de soutien, vous pouvez écrire à l'adresse apf44.denyseleberre@free.fr

    Courage Denyse !

    La Délégation APF 44

  • Plus de 800 bénévoles manquent encore à l’appel pour permettre à 2000 personnes en situation de handicap de partir en vacances cet été avec APF Évasion !

    Alors que les premiers séjours de la saison 2013 ont débuté, APF Évasion fait le constat alarmant qu’il manque encore plus de 800 accompagnateurs bénévoles, notamment masculins !


    La situation devient urgente pour un certain nombre de vacanciers en situation de handicap qui ont d’ores et déjà réservés leur séjour et qui, faute de bénévoles, pourraient être privés de vacances ! Pour que cette situation ne se produise pas, APF Évasion lance un appel à toute personne de plus de 18 ans, dynamique et disponible 2 à 3 semaines cet été, pour accompagner une personne en situation de handicap. C’est le moment de choisir ses vacances. Pourquoi ne pas devenir bénévole avec APF Évasion ?

    Pour devenir accompagnateur bénévole, rien de plus simple ! L’inscription peut être réalisée :

     → en ligne : www.apf-evasion.org

    par téléphone : 01 40 78 00 00

    par courriel : evasion.accompagnateurs@apf.asso.fr

    → en demandant un exemplaire papier du dossier d’inscription à APF Evasion 17, bd Auguste Blanqui 75013 Paris

    APF Évasion prend en charge les frais de transport, de nourriture, d’assurances et d’hébergement des accompagnateurs, et dispense une formation d’un à deux jours sur site, avant l’arrivée des vacanciers.