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  • L'APF à visage découvert" : Un site pour feter les 80 ans de l'APF

    1513326940.jpgPour promouvoir et fêter ses 80 ans, l’APF lance l’opération : « L’APF à visage découvert ». L’association invite tous ses acteurs à envoyer leur portrait sur le site 80ans.apf.asso.fr, accompagné d’un message, et à révéler ainsi le visage de ceux qui font l’association.

     Chacun peut participer !

    L’objectif est de fédérer les acteurs autour de cet événement important et de symboliser la dimension humaine et dynamique de l’APF.

    Pour acceder au site 80ans.apf.asso.fr, cliquez ici.

  • Un champion parmis nous !

    IMG_7100.jpgLes 22 et 23 juin derniers, Damien Gautier, Conseiller départemental de l'APF, participait à la Coupe de France de tir à l'arc à Brienon (89), où il a finit sur le podium à la première place.

    L'ensemble de la Délégation tient à féliciter Damien pour cette belle réussite ! Grâce à ses résultats acquis, Damien peut acceder aux catégories Championnat de France.

    Si vous aussi le tir à l'arc vous intéresse, retrouvez plus de renseignements sur le site Handisport Nantes.

  • Petit déjeuner de remerciements des partenaires de la Fête du Sourire

    DSC_0472 (800x530).jpgLa Fête du Sourire a fêté ses 10 ans du 24 mai au 9 juin 2013 dans tout le département de la Loire-Atlantique et de nombreux partenaires nous ont soutenu à l'occasion de cet évènement qui contribue à faire "Bouger les lignes".  Notamment grâce à leurs soutiens, nous allons pouvoir financer des projets des adhérents en situation de handicap ou valides de l’APF.

    Aussi, à l'occasion d'un petit déjeuner de remerciements qui s'est déroulé mardi 2 juillet à la Délégation, nous avons eu le plaisir d'accueillir, entre autre, Christophe Hugé (JCDecaux), Claude Ferré et Dominique Lebon (Orange), Claude Léon (MMA).

    Ce moment nous a permis de revenir sur les moments forts de l'édition 2013 de la Fête du Sourire avec convivialité autour d'un petit-déjeuner.

  • La philosophie face au handicap - Bertrand QUENTIN

    « Ce sont les habitations totalement inadaptées qui rappellent sans cesse aux personnes handicapées qu’elles sont différentes. Il faudra donc s’attaquer aux dispositions architecturales (impossibilités d’accès), aux problèmes de luminosité, de taille d’affichage (difficultés de visualisation), etc. Si en effet les accès aux trottoirs, bus, collèges, lycées, mairies se font bien, la déficience peut rester la même, mais le handicap a diminué. Si j’ai des problèmes de vision mais que la mairie a fait travailler des experts de la déficience visuelle sur la luminosité des affichages, alors mon handicap diminue. De la même façon si j’ai un problème d’audition mais qu’ont été réalisés des traitements acoustiques adéquats dans le bâtiment municipal. Plus nos déficiences sont grandes, plus les structures spatiales et architecturales peuvent être déterminantes dans leur prévention, leur réduction ou leur aggravation »

    Extrait de La philosophie face au handicap, Bertrand QUENTIN

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    Bertrand QUENTIN est diplômé de HEC, agrégé, docteur en philosophie et Maître de conférences en philosophie pratique à l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée. Ses recherches portent sur la question de l’altérité philosophique (le scepticisme, la science) et de l’altérité anthropologique (réflexions sur l’homme fragile : handicap et vieillissement).

    Bertrand QUENTIN est également l'auteur du livre Vieillir handicapé.

     

    Site éditeur : www.editions-eres.com.

  • La différence expliquée aux enfants dans la série "Si c’était moi… ", diffusée sur TFou, le site jeunesse de TF1

    Qui ne s’est jamais posé la question suivante : « Et si c’était moi ? » pour s’imaginer dans la peau d’une autre personne et tenter de la comprendre ? C’est sur cette idée que s’appuie la nouvelle série lancée par TFou, le site jeunesse de TF1 fin mai. Elle aborde les thèmes du droit à la différence et de la tolérance à travers vingt petites histoires mettant en scène Cécile et Kevin, âgés de12 ans.

    Pour lire la suite, cliquez ici.

    Source : Le blog Faire Face

  • Les adhérents de l’APF dénoncent la politique actuelle qui les considère comme des citoyens de seconde zone !

    Réunis en Assemblée générale le 29 juin à Chartres, les adhérents de l’APF ont dénoncé samedi le manque de réelles mesures et l’absence d’implication du président de la République et du gouvernement sur la politique du handicap. De l’accessibilité à la citoyenneté en passant par les services d’aide à domicile et la solidarité, ils ont adopté quatre motions ambitieuses et nécessaires exprimant les fortes attentes des personnes en situation de handicap.

    En effet, plus d’un an après l’arrivée de François Hollande et de son gouvernement, force est de constater qu’il n’y a toujours pas de réelle politique du handicap ! Les quelques mesures à destination de publics ciblés ne constituent en rien une avancée concrète au regard de toutes les difficultés quotidiennes des personnes en situation de handicap et de leur famille. Depuis un an, le gouvernement renvoie l’APF au Comité interministériel du handicap pour avoir des réponses précises. Or celui-ci, prévu en juin, a été reporté à juillet puis à septembre !

    Aujourd’hui, avec leurs motions, les adhérents de l’APF dénoncent la politique actuelle qui les considère comme des citoyens de seconde zone. Et ils fixent leur feuille de route au président de la République et au gouvernement !

    Pour lire le communiqué complet, cliquez ici

    Pour lire les motions, cliquez sur chacune d’entre elles : 

    Motion 1 : « Accessibilité : l’échéance de 2015 n’est pas contournable ! »

    Motion 2 : « La solidarité nationale n’est pas la charité ! »

    Motion 3 : « Services d’aide à domicile : l’APF lance un cri d’alarme sur la situation des personnes »

    Motion 4 : « La citoyenneté et la participation sociale ne sont pas négociables ! »

     

    La Délégation APF de Loire-Atlantique a également apporté sa contribution lors de cette Assemblée général en posant des questions sur les trois sujets suivants :

    • Le revenu d'existance (qui a été ajouté à la motion 2).
    • La nécessité du maintien des Délégations, dans chaque département, avec de réels moyens de fonctionnement.
    • Un meilleur retour sur les réalisations de legs.

    Parmis les questions posées, des réponses sont toujours en attente.