Parents et associations de personnes handicapées ne sont plus seuls à dénoncer le manque de places dans les instituts médico-éducatifs pour les enfants en situation de handicap : l’adjointe Défenseure des enfants auprès du Défenseur des droits a également lancé l’alerte le 11 juillet dernier sur Europe 1.

« Il y a un manque de places qui existe depuis quelques années et qui ne permet pas que les enfants soient accueillis alors qu'une décision a été prise par la Maison départementale des personnes handicapées pour qu'ils puissent faire leur scolarité dans des conditions normales dans un institut médico-éducatif », a déploré Marie Derain. « La plupart du temps, ces enfants sont contraints de rester chez eux, avec les conséquences que ça peut avoir sur l'organisation familiale. »

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Sources : le blog Faire Face

Actuellement en formation de secrétaire assistante médico-sociale, l’APF a toujours été une structure qui m’intéressait. La Délégation Départementale de Loire-Atlantique m’a permis d’effectuer mon stage d’application de cinq semaines, qui s’est déroulé du 10 juin au 12 juillet 2013.

Que dire de ces cinq semaines ?

Ces semaines sont passées très vite, même trop vite. J’étais pressée de commencer mon stage, mais j’avoue que j’appréhendais un peu aussi. Mais l’équipe m’a tout de suite bien intégrée. Et je me suis sentie rapidement à l’aise. On ne m’a pas fait ressentir que j’étais « une stagiaire ».

J’ai eu des missions très intéressantes à réaliser et on m’a donné l’opportunité de participer à des évènements comme si je faisais partie de l’équipe. C’est une équipe très dynamique, motivée et très investie dans ce qu’elle fait. A la base, je suis sensibilisée au handicap et je souhaitais pouvoir effectuer mon stage dans ce secteur associatif. Cela m’a permis de me conforter dans mon projet professionnel.

Quel bilan ?

Je ne retire que du positif de cette expérience et je pense, dans le futur, m’investir au niveau de l’APF, pourquoi pas en tant que bénévole. Je quitte cette équipe avec du regret.

Je remercie donc Grégoire de m’avoir accueillie au sein de la Délégation, ainsi que Pauline Bosger. Anelise et Rose-Anne pour m’avoir accompagnée jour après jour dans mon travail, ainsi que toute l’équipe : Marie, Guillaume, Solenne, Alexandra. Et tous les bénévoles

Aline Glémot

LA PROXIMITE EST INDISPENSABLE

La tendance actuelle est à la délocalisation de certains services publics, les administrations… Le manque de transports adaptés sur de nombreuses communes du département est un obstacle supplémentaire pour les personnes à mobilité réduite, les personnes âgées… et, de ce fait, sont parfois privées ou accèdent difficilement à certains services du département qui sont souvent regroupés sur la ville de Nantes.

C’est pour tous ces motifs que je vois l’importance de l’Antenne APF sur St Nazaire. Les acteurs du Groupe Relais de l’agglomération nazairienne assurent des permanences qui permettent aux usagers, aux arrivants sur la ville ou la région, et à tous les publics de déposer et d’obtenir les renseignements qui leur sont nécessaires. Les questions auxquelles nous ne pouvons répondre immédiatement ou qui ne sont pas de notre champ de compétences,  sont traitées, en étroite collaboration, avec la Délégation départementale. Il y a également le lien avec le Pôle adultes APF 44 par la présence ponctuelle de certains salariés (assistante sociale…), ce qui facilite la communication sur certains sujets d’ordre général.

Grâce à la proximité de l’Antenne nazairienne, les services de la Mairie viennent, si besoin, nous rencontrer facilement. Il en est de même avec France Bénévolat et d’autres Associations en lien ou non avec le handicap. Notre participation au Conseil d’adminsitration de Saint Nazaire associations nous permet de travailler avec tous les acteurs de l’agglomération nazairienne. Ce qui contribue à créer de l’ouverture pour une société inclusive.

Il y a aussi la proximité de la MDPH sur St Nazaire, les usagers de la presqu’île ne sont plus obligés de faire des déplacements, souvent très compliqués, pour se rendre à Nantes.

Gardons, le plus possible, les services de proximité dans tous les domaines.

Bonnes vacances à tous et si vous êtes à « proximité » de la plage essayez les tiralos.

Eliane Vallée, Conseillère départementale

L’aménagement du tout nouveau cœur de ville de Pont-Chateau, organisé autour de la redécouverte du Brivet, arrive à son terme. Les travaux ont été pensés de manière à aménager "un nouvel espace accessible à tous". En effet, l’ensemble des aménagements respecte toutes les normes applicables aux personnes à mobilité péduite et le cheminement piéton en pente douce entre les gradins, doit permettre d’approcher la rivière au plus près. Les gradins sont très facilement accessibles. La pose du mobilier urbain qui complète la Place a été pensée pour bénéficier au plus grand nombre: il s’agit de bancs, chaises, corbeilles et appuis vélos identiques à ceux qui équipent les rues déjà refaites.

L’objectif est que chacun puisse profiter de ce nouvel espace, y flâner ou encore s’y retrouver en groupe ou en famille..

Nous avons rencontré Bernard Clouet, Maire de Pont-Chateau, qui nous explique le projet :

Si ce n'est pas encore fait, n'oubliez pas de signer la pétition "N'écoutez pas les lobbies" et dites "oui" à l'accessibilité. Pour signer la pétition, cliquez ici.

Le magazine Déclic, éditée par Handicap International, nous fait découvrir Sacrée Judith et le mur de la différence, un dessin animé, fin et pédagogique, consacré au polyhandicap.

Judith a 11 ans, des couettes et des mouvements désordonnés. Elle est polyhandicapée suite à une méningite. Comment amener les autres enfants à s’approcher d’elle ? Tel est le défi lancé par sa famille qui a eu l’idée d’apporter des réponses à cette question par le bais d’un dessin animé, écrit et réalisé par Julien Vergé. Des pistes pour qu’on les connaisse, elle et son handicap, Judith n’en manque pas. Elle conclut son propos par une joyeuse proposition : « C’est pas parce que je suis différente qu’il faut pas me dire un vrai bonjour ! »

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Source : Le blog Faire Face

Chloé, Sarah, Daniela, Mohamed, Dylan, Alexis, de jeunes poitevins acteurs de leur propre handicap dans une vidéo initiée par la commission Sports/Solidarité du CCJP (Conseil Communal des Jeunes de Poitiers).

Leurs voix, leurs mots, leur engagement ont été mis en valeur par le travail d'un jeune slameur local, "LHOME", qui les a aidé dans la rédaction des textes et leur mise en musique face à la caméra. 

Le résultat est à la hauteur de l'ambition, c'est à dire "changer le regard des autres sur le handicap".

Alors, efficace ou pas ce clip? Votre avis nous intéresse.

L’objectif des 6 % de travailleurs handicapés est loin d’être atteint. Dans le privé surtout. La part de travailleurs handicapés dans les établissements d’au moins 20 salariés s’élevait, fin 2010, à 2,8 % dans le secteur privé et 4,39 % dans le secteur public, selon l’Agefiph et le FIPHFP qui viennent de publier ces chiffres. Les méthodes de calcul étant différentes, il n’est pas possible de comparer leurs performances respectives. Il faut donc se contenter d’une analyse secteur par secteur.

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Source : Blog Faire Face